Ottawa (Ontario) – L’honorable Pierre Poilievre, chef des conservateurs de gros bon sens, a annoncé aujourd’hui qu’il forcera plusieurs votes au Parlement la semaine prochaine pour renoncer à la hausse de la taxe de Trudeau ce poisson d’avril :
« Le 1er avril, Justin Trudeau prévoit faire une blague cruelle aux Canadiens. Alors que les gens luttent pour mettre de la nourriture sur la table, mettre de l’essence dans leur voiture ou chauffer leur maison, il va encore augmenter les taxes. Il prévoit augmenter sa taxe carbone de 23 % afin d’appauvrir les Canadiens et de quadrupler la taxe carbone au cours des six prochaines années.
« Les Canadiens en ont assez. Près de 70 % des Canadiens s’opposent à la hausse du 1er avril de Trudeau et il fait face à une révolte provinciale alors qu’un nombre croissant de premiers ministres provinciaux font écho des demandes des conservateurs de gros bon sens de renoncer à la hausse, y compris un premier ministre provincial libéral.
« C’est pourquoi, la semaine prochaine, nous forcerons plusieurs votes au Parlement pour renoncer à la hausse de la taxe de Trudeau. Le dernier vote aura lieu jeudi prochain. Notez-le dans vos agendas.
« Si Justin Trudeau insiste pour hausser la taxe sur les produits alimentaires, le chauffage et l’essence, il est temps que les députés libéraux et néo-démocrates lui tiennent tête pour qu’il fasse baisser les prix. La capacité des Canadiens à mettre de la nourriture sur la table et de l’essence dans leur voiture est plus importante que la protection de la carrière politique déclinante de Justin Trudeau.
« Les Canadiens auront éventuellement la chance de voter pour abolir complètement la taxe carbone lors des élections. Mais la semaine prochaine, les députés libéraux et néo-démocrates auront de multiples occasions d’écouter les Canadiens et de voter avec les conservateurs de gros bon sens pour renoncer à la hausse de la taxe ce poisson d’avril. Les Canadiens devraient suivre de très près l’évolution de la situation pour voir si leurs députés votent en faveur de la souffrance et de l’augmentation des taxes, ou pour un soulagement de gros bon sens pour les Canadiens. »